Un atelier de réflexion sur le suivi de l’examen périodique universel du cycle n°4 2024-2028 pour Djibouti a eu lieu au Sheraton hôtel.

Après un mot de bienvenue place aux discours de Mme Valentina qui représentait l’ambassadrice de l’UE auprès de l’IGAD.

La CNDH se doit de présenter un rapport alternatif qui sont faits par les CNDH un peu partout dans le monde a-t-il déclaré.

Il a aussi plaidé pour que la CNDH ait un statut et une reconnaissance internationale.

Il s’est déclaré reconnaissant quant à l’assistance technique et financière de l’UE qui sans nul doute seront d’une importante capitale pour renforcer l’expertise de la CNDH et par conséquent mieux connaître les outils qui permettraient de réaliser la mission de la commission a-t-il conclu.

Rappelons que le processus de l’EPU offre une plateforme pour le dialogue constructif et la coopération entre Djibouti et la communauté internationale en matière de droits de l’homme.

EPU est plus qu’un simple outil un ensemble de rapport de toutes les parties prenantes qui permet à chaque étape de se faire évaluer, quelles actions entreprendre pour aller de l’avant.

Il favorise également la transparence et la responsabilité dans la promotion et la protection des droits de l’homme dans le pays.

Ont participé à cet atelier outre le président de la CNDH, les experts internationaux en matière des droits de l’homme, les présidents de trois communes respectives, les présidents des conseils régionaux, les parties prenantes de différents départements ministériels concernés ainsi que les acteurs de la société civile.

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